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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 21:23

compte rendu de la 1ere réunion du 25 janvier 2013

 

proposition de la direction:

    1% au 1er MARS 2013 ??????????????????????

 

 

 

au vue des différentes augmentations  sur un an ( + 2,3% pour l'alimentation générale, + 7,7% sur les produits frais, + 3,1% sur la viande, + 2,6% sur l'énergie, etc...... ), au vue de l'année à venir qui s'annonce  plutôt morose pour nos portes-monnaie, on est en droit de se demander si la direction à bien saisi tous les efforts consenties par les salariés pour «  la bonne santé de LDC  » ?????????

 

 proposition de la CGT:

 

1.                1€ de l'heure en plus sur le taux horaires

 

2.                intégration des variables sur la prime du 13ème mois ( ancienneté, prime de froid, prime d'habillage............)

 

3.                valorisation des heures travaillées le samedi

 

4.                participation employeur sur la mutuel à hauteur 70% et 30% pour les salariés

 

 suite des négociations le 5 février

 

 PS: pendant ce temps là  les actions de LDC ont pris + 20€ !!!!

 

 

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 14:08

Le groupe tente de conclure aujourd'hui la négociation d'un accord de « compétitivité » qui imposerait aux salariés une lourde régression sociale. En cas de refus, il menace de fermer des sites. Dans les usines, la mobilisation gagne.

 

mardi 29 janvier 2013

C'est une partie à très gros enjeu qui se joue chez Renault. Pour les salariés de la firme d'abord, mais aussi pour l'ensemble des groupes. En engageant, fin 2012, la négociation d'un accord de compétitivité, Renault posait en pionnier d'une opération de grande envergure réclamée par l'ensemble du patronat, consistant, au motif de la crise, à imposer une régression sans précédent des garanties collectives. De séance en séance, la direction du constructeur
a mis sur la table les ingrédients de son cocktail amer. Du brutal.

Qu'on en juge : augmentation du temps de travail de 6,5 %, sans salaire en sus, par le biais de l'allongement de la durée journalière, de la diminution des pauses, de la suppression de jours de RTT; mobilité imposée entre les divers sites ; gel des salaires en 2013, suivi d'une revalorisation inférieure à l'inflation dans les deux années suivantes ; suppression de 8 260 emplois d'ici à 2016, pour l'essentiel dans la production, mais aussi dans l'ingénierie (où 2 000 postes disparaîtraient) et le tertiaire (moins 1 300 postes).

Pratiquant le chantage décomplexé, Renault fait valoir devant les syndicats que s'ils acceptaient ce paquet austère, les usines françaises pourraient se voir attribuer un volume de production supplémentaire de 80 000 véhicules, venant de partenaires (Nissan est évoqué).

A l'inverse, en cas de refus, l'engagement de non-fermeture de sites, comme celui de ne pas faire de plan social, pourrait ne pas être tenu. Tentant, laborieusement, de réfuter l'accusation de chantage, le PDG, Carlos Ghosn, ne faisait que la confirmer en déclarant la semaine dernière : « Dans cette discussion, il y a des efforts à faire, il y a aussi des engagements de l'entreprise de l'autre côté », « or, ces engagements de l'entreprise ne peuvent être tenus qu'à partir du moment où les efforts sont à faire ».

 

le risque d'une double
« catastrophe »


Dénonçant « la poursuite, en l'amplifiant, d'une logique qui nous est imposée depuis plusieurs années, pour maintenir un niveau de marge acceptable pour les actionnaires », Fabien Gache, coordonnateur des syndicats CGT du groupe, met en garde contre le risque d'une double « catastrophe », sociale et économique. « On est déjà, dit-il, dans une situation où les salariés ne sont pas en capacité de faire le travail, du fait qu'ils ne sont pas assez nombreux, du
fait de cadences très fortes. » Qu'en sera-t-il demain, en 2016, avec 8 000 personnes en moins, et alors que la direction envisage de réaliser alors la même production qu'en 2011? « On en rajoute dans la fragilisation de l'entreprise. Les conséquences seront désastreuses pour la santé des salariés, et l'addition lourde aussi en termes de coûts d'obtention de la qualité », analyse le syndicaliste. Le tout sans résoudre aucunement la crise actuelle, bien au contraire, puisque le blocage des salaires et les liquidations d'emplois ne pourront qu'aggraver les problèmes de pouvoir d'achat dont souffre, avant tout, l'automobile.

La partie est cependant loin d'être jouée. Selon la CGT, « les salariés commencent à voir que, derrière de pseudo-arguments économiques, il y a une posture politique du patronat », qui cherche « méthodiquement à défaire tout ce qui relève des garanties collectives ». Une entreprise de flexibilisation que le projet d'accord Medef-CFDT sur l'emploi menace d'institutionnaliser (lire page 3). De semaine en semaine, au fil des négociations, la contestation de ce projet
a gagné du terrain dans les sites Renault. A l'appel de la CGT, seule au début, puis rejointe par des syndicats CFDT de plusieurs usines, les débrayages ont mobilisé près de 4 000 salariés mardi dernier dans l'ensemble du groupe. Aujourd'hui, l'appel à des arrêts de travail dans l'ensemble des sites est lancé par la CGT et FO. Pour être validé, le projet d'accord devrait être signé par trois des quatre syndicats existants dans le groupe. Pas gagné à ce jour. La négociation pourrait se prolonger. Dans l'attente, les regards se tournent aussi vers le gouvernement : persisterat-
il dans son « attitude assez passive », que dénonçait vendredi le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, ou bien, fort de son rôle d'actionnaire (à 15 %) de Renault, s'opposera-t-il à une tentative de chantage sans précédent, du moins à ce niveau ? ■

par Yves Housson

 

source : L'Humanité

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 14:07

Une réunion de négociations s’est tenue le lundi 21 Janvier en présence de représentants du cabinet de courtier Verlingue et de Harmonie.

 

Une différence de fonctionnement oppose Verlingue et Harmonie. Harmonie est assureur et gestionnaire de ses contrats alors que Verlingue est à la fois courtier et gestionnaire des prestations au travers de sa filiale Génération.

 

La direction n’a apporté aucune réponse pour l’avenir de notre mutuelle au 1er Janvier 2014 :

 

● Aucune position sur l’évolution de la participation employeur

 

● Aucune assurance de garder Harmonie pour 2014

 

● Rien de précis sur le système de garanties ( actuel ou socle  + options )

 

● Aucune garantie sur l’équivalence entre prestations et cotisations entre les 2 mutuelles

 

● Absence de Commission de suivi de la mutuelle chez LDC qui nous permet aujourd’hui de connaitre le bilan de la mutuelle et de négocier les futurs tarifs.

 

● Absence de réseau de proximité avec Verlingue

 

Nous demandons à la direction de se prononcer franchement sur la marge de manœuvre qu’il y a dans cette « négociation » qui ressemble à un dialogue de sourd.

 

La direction est incapable de répondre sur les conséquences pour les salariés en cas de nouvel accord ou de décision unilatérale de l’employeur de mettre en place la mutuelle de groupe LDC.

 

Seulement 5000 salariés de LDC sur 17000 sont adhérents à la mutuelle du groupe LDC. Nous dénonçons que la direction touche à notre mutuelle, dont les salariés sont les financeurs et les bénéficiaires, avec des garanties et un mutualiste que nous avons choisi et qui nous conviennent.

 


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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 19:19

L’article 6 de l’avenant à la convention collective du 10 octobre 2002 relatif au travail de nuit prévoit en contrepartie du travail de nuit :

 

-        1 jour de repos de 270 à 500 heures effectuées dans l’année

-        2 jours au-delà de 500 heures

 

 

La direction de l’UVSF n’appliquait pas cet accord alors que les salariés de l’abattoir poulet effectuent le nombre d’heures nécessaires pour pouvoir prétendre à un jour de repos.

 

Suite aux différentes actions des élus CGT de l’UVSF sur ce sujet auprès de la direction, les salariés de l’abattoir poulet ont obtenu à partir de cette année ce jour de repos.

 


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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 17:00

Communiqué du Bureau confédéral de la CGT

Le Bureau confédéral de la CGT confirme l’avis négatif de la délégation CGT sur l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 qui modifierait profondément le Code du Travail.

Ce texte marque une grave régression des droits sociaux des salariés et va a contrario des objectifs fixés par la « Grande Conférence sociale » et celle de la « lutte contre la pauvreté ». Il contient de multiples dispositions pour faciliter les licenciements et accentuer la flexibilité.

Le chantage à l’emploi est généralisé par des accords permettant la baisse des salaires et l’augmentation du temps de travail, ce sont les accords de « compétitivité/emploi » voulus par Nicolas SARKOZY.

La thèse du MEDEF est le principal fil conducteur de cet accord : « les licenciements d’aujourd’hui feront les emplois de demain ».

Il serait inconcevable que la majorité parlementaire et le Gouvernement, issus des élections de mai 2012, entérinent dans la loi les reculs sociaux dictés par le MEDEF.

Le Gouvernement, qui se dit attaché au Dialogue social, doit prendre en compte le rejet de cet accord par les syndicats représentant bien plus de salariés que les syndicats potentiellement signataires.

La CGT attend du gouvernement un projet de loi d’une toute autre nature, qui protège les salariés contre les licenciements et la précarité.

La CGT va amplifier sa campagne d’information par l’édition d’un journal tiré à deux millions d’exemplaires à destination des salariés pour favoriser leur mobilisation dans les semaines à venir.

Montreuil, le 14 janvier 2013

 

source : CGT.fr

 


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