Carte D'identité

  • : Le syndicat CGT Arrivé - Maitre Coq
  • : informations du syndicat CGT de la société Arrivé - Maître Coq, une entreprise du groupe LDC.
  • Contact

Recherche

La Cave

Contactez nous

                                                                                                                             lacgtarrive@orange.fr

Tél :
0251442346
0251442562
0251452280
0251408866
13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 19:35

QUE DE BELLES PAROLES !!!

 

Rappelez-vous ce que nous vous disions en juillet 2011 :

« Sur la sécurité de l’emploi, on nous promet le maintien des effectifs mais jusqu’à quand ? Lorsque l’on voit nos voisins d’Arrivé qui ont été racheté par LDC, ils ont eu le même discours, mais il y a eu des licenciements et des fermetures de sites au profit de la rentabilité de l’actionnariat (LDC est coté en bourse) et nous comme par hasard, il n’y aura pas de restructuration ? Rappelez-vous GPA (Sicamen) ! Aucun Licenciement, sauf qu’il y a eu 70 personnes de licenciées sans oublier les autres salariés de nos filiales que la direction a fermé (Dauphiné, Rossi, houdoin…). »

Ça y est ! Ç’est commencé !!!

 

Petit Historique 2012 :

Janvier 2012, création de HGRTS. Tout l’administratif de GFA/GPA et autres sont incorporés dans cette nouvelle filiale et dirigé par un nouveau directeur (hendrix).

Avril 2012, création d’Hybride TurkeysFrance (Soucelles, Vaulandry, Sennevières) et dirigé par un nouveau directeur (Hendrix).

Avril 2012, annonce en réunion extraordinaire du Comité d’Entreprise, la fermeture du couvoir de Plöermel (56). 8 CDI & 10 CDD. Actuellement, 4 des CDI ont accepté de rester chez GFA.

Juin 2012, départ du responsable de la comptabilité (remplacement Hendrix) et du Directeur des Opérations Ouest pour fin septembre 2012. La nomination de deux nouveaux  directeurs (Hendrix) est annoncée en réunion extraordinaire du Comité d’Entreprise. Aujourd’hui, on apprend que nos anciens collègues de l’administratif font les frais de la nouvelle direction, en leur montrant où est la porte, 17 salariés sont concernés sur tout HGRTS. Il est où le beau discours du début d’année au jardin de l’Anjou, « pas de licenciement !!! » ?

La prochaine vague est pour quand ? Et qui ? Personne n’est à l’abri, tous les services sont concernés. Ils pensent qu’en augmentant la productivité(au détriment de la santé), ils vont arriver à supprimer des postes. Mais nous sommes déjà au maximum.

L’actionnariat est bien là !Avec le profit qui l’accompagne. Rentabilité, Rentabilité… C’est le mot d’ordre de la direction.

 

Et notre ancien PDG dans tout ça ? Il a pris ses distances par rapport à ces derniers évènements.Sachant qu’il a pris les devants en début d’année en distribuant à chacun des membres de sa famille (les 3 enfants et sa femme) la coquette somme de 1 701 000€ divisé en 1701000 parts de 1€… (SourceL’Anjou Agricole-vendredi 13/01/2012-annonces légales). Après tout ! Il a le droit de faire ce qu’il veut de sonargent, mais n’oublions pas une chose ! S’il a fait fortune, ce n’est pas tout seul ! C’est grâce aussi aux salariés et enappliquant une politique de bas salaires !

Alors, à la prochaine augmentation du SMIC en juillet (2%), nous saurons attentif à ce que ferons nos nouveaux dirigeants sur la réévaluation de nos salaires. Et s’il faut mobiliser les salariés pour obtenir ce réajustement de salaire, nous le ferons !!! Et cela ne sera pas de « Belles Paroles ». Ils vont sans doute nous faire peur en nous annonçant encore des licenciements s’ils augmentent tous les salaires, que la concurrence est là …Et oui, la concurrence, ils vont rigoler quand ils vont apprendre ce qui se passe chez nous. La belle image d’Hendrix génétics, va sans doute être écornée.

 

A  St Laurent de la Plaine, le 11 juillet 2012

 

source : cgt-grelier.over-blog.com/

Partager cet article
Repost0
22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 15:00

Lorient, le 21 juin 2012

AUX SYNDICATS CGT DE BRETAGNE

AUX UNIONS LOCALES

AUX SYNDICATS DEPARTEMENTAUX

 

L’importance de la filière avicole dans notre région ne doit faire de doute pour personnes. Du salarié de l’agroalimentaire en passant par le transport, l’aviculture, l’activité portuaire, les services publics en territoires, etc… DOUX est l’affaire de tous.

 

La CGT dans l’unité la plus large et les salariés doivent tout mettre en oeuvre pour la sauvegarde de la filière avicole française qui engage également toute l’économie régionale et nationale.

 

La situation du groupe DOUX ne peut être réglée par le dépeçage de l’entreprise. Il y a urgence à engager une réflexion constructive concernant la filière.

 

Les organisations syndicales du groupe DOUX ont appelé à un rassemblement samedi 23 Juin prochain à 15 h 00 à CHATEAULIN, Place de la Résistance. L’ensemble des organisations CGT, CFDT, FO et CFTC, avec les salariés, appellent l’ensemble des acteurs de la filière et les populations à y participer massivement.

 

Quoi de mieux que la mobilisation massive de toutes nos forces pour mettre à mal les sombres projets qui sont déjà dans « les tuyaux ».

La sauvegarde de la filière avicole française passe par une amélioration des conditions sociales, par des droits nouveaux des salariés qui doivent avoir un droit de regard sur la gestion des entreprises et  l’utilisation des fonds publics.

 

Nos organisations syndicales territoriales invitent l’ensemble des syndicats CGT à participer massivement à l’appel de l’intersyndicale et des salariés du groupe DOUX pour ensemble faire entendre que d’autres choix sont possibles.


La filière a de l’avenir !

 

Tous les syndiqués, les salariés, les populations, les professionnels sont appelés à participer à ce rassemblement qui permettra que la voix des salariés ait la place qui lui revient.

 

C’est en se mobilisant massivement que nous arriverons à une prise en compte d’orientation qui aille dans le sens de l’intérêt des salariés, des populations et des territoires.

                        

C’est dans ce cadre que les organisations syndicales de l’entreprise DOUX vous appelle à un rassemblement le samedi 23 juin à 15 h 00 Place de la Résistance à CHATEAULIN.

 

Pour la Région Bretagne,

Le chargé du suivi du dossier DOUX

Jean-Pierre ROUET

 

 

 


Partager cet article
Repost0
14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 12:26

Charles Doux 146ème fortune de France a bâtit sa richesse sur une stratégie basée sur le Dumping social.

 

Depuis 1998, date à laquelle il a décidé de délocaliser sa production, il a fermé 13 usines en France et supprimé plusieurs milliers d’emplois.

 

Cela s’est traduit pour les salariés par une augmentation des Accidents du Travail et le développement des Troubles Musculo-Squelettiques.

 

Sa gestion opaque de l’entreprise et la chasse aux militants CGT, son déni de démocratie, ont parachevé son œuvre entièrement voué à faire prospérer ses intérêts égoïstes.

 

La délocalisation a eu d’autres conséquences sur l’industrie avicole Française et l’emploi industriel dans l’ensemble de la filière.

 

Cette stratégie politique sur fond de denier public, avec les restitutions Européennes, pose une question depuis trop longtemps en débat, l’Etat, les pouvoirs publics ont laissé faire. L’argent public a été dilapidé et a contribué à la situation catastrophique que nous connaissons aujourd’hui.

 

La CGT pose une nouvelle fois la question de l’utilisation par les industriels de la « MANE » publique et de son contrôle.

 

Le groupe Doux s’entête dans une logique où l’intérêt général passe au second plan. Deux épisodes récents démontrent que Mr Doux ne veut pas partager son pouvoir de direction qu’il juge de droit divin. Il a en effet en avril 2012 alors que le FSI s’apprêtait à intervenir pour essayer de trouver une solution, fait échec au CIRI (Comité Interministériel des Restructurations Industrielles) en entreprenant des démarches parallèles pour mettre ses usines Brésiliennes en location vente auprès du groupe JBS 1er  producteur de viande bovine au Brésil. Plus récemment, alors que le ministre du redressement productif recherchait une solution avec la banque Barclay, il a tout simplement refusé un prêt de 35 millions d’euros sous prétexte que cette dernière souhaitait des garanties quand à la gestion de l’entreprise. Il a donc décidé de but en blanc le dépôt de bilan sans avoir préalablement informé et consulté le CCE conformément à la loi.. Contrairement aux justifications hasardeuses qu’il donne à la presse locale, Charles Doux fait une fois de plus la démonstration inverse de ce qu’il proclame.

 


La CGT revendique 

 

 

     

Charles Doux doit maintenant payer ses méfaits. Il doit mettre de l’argent pour renflouer le groupe qu’il a ponctionné.

 

Il a le devoir de restituer l’argent public qu’il a utilisé à mauvais escient, pour s’enrichir, au lieu de développer le potentiel industriel avicole.

 

Il doit répondre de ses actes dans la casse de l’emploi et du Dumping social forcenés qui ont conduit au fiasco et affaibli la filière avicole Française.

 

La CGT exige par ailleurs des droits syndicaux nouveaux. Le groupe Doux n’aurait pas dû être en situation de s’exonérer de l’information consultation du CCE sous peine de nullité de sa démarche auprès du tribunal de commerce pour se mettre en dépôt de bilan et redressement judiciaire.

 

Il n’aurait pas dû pouvoir faire cette démarche tant que le CIRI, le FSI, et les négociations avec les banques n’avaient pas abouti.

 

Notre syndicat exige que les Institutions Représentatives du Personnel (IRP) aient un véritable droit de regard et de veto sur la gestion des entreprises.

 

Nous exigeons également que l’intégrité du groupe soit préservée. Nous demandons une mise sous tutelle par l’état du groupe et de la filière avicole que la stratégie de Doux a mis en danger.

 

Se syndiquer et lutter

 

La CGT appelle les salariés à renforcer le syndicat en adhérant et en luttant pour faire aboutir leurs revendications.

 

 Intégrité du groupe

 Sauvegarde de tous les emplois

 Amélioration des conditions de travail

 Augmentation des salaires minima de la grille

 Retraite à 55 ans pour nos métiers pénibles

 Mise sous tutelle par l’état du groupe DOUX et de la filière agricole

CGT       BULLETIN D'ADHESION ET DE CONTACT

 

NOM ……………………………………. Prénom : ………………………………………..

Adresse Personnelle : ………………………………………………………………………

Entreprise : ………………………………..Localité : …………………………………….

 

Remettre à un militant de votre connaissance ou à renvoyer à UD CGT FINISTERE 2 place E Maze

29200 Brest – 02 98 44 37 55 – ud29@cgt.fr

Partager cet article
Repost0
7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 09:34
Goodyear: abandon du plan de licenciements confirmé
 

La direction de Goodyear Amiens-Nord s’est engagée ce mercredi l’abandon des licenciements au profit d'un plan de départs volontaires. La poursuite de l’activité tourisme du groupe est également confirmée.

La CGT s’apprête d’ores-et-déjà à fêter sa victoire, alors qu'un plan social visant à mettre un terme à l'activité de pneus tourisme à l'usine Goodyear d'Amiens-Nord a été abandonné, après avoir été plusieurs fois invalidé par la justice. "La direction de GDTF (Goodyear Dunlop Tires France) confirme" que dans le cadre de discussions avec la CGT Amiens-Nord, "il n'est plus question de licenciements contraints mais uniquement d'un plan de départs volontaires", a-t-elle indiqué dans un communiqué.

"La direction abandonne le PSE (plan de sauvegarde de l'emploi), renonce à tout licenciement (et) s'engage à poursuivre l'activité tourisme", affirme de son côté la CGT Goodyear dans un communiqué. "La discussion (entre le syndicat et la direction) ne concerne que la possibilité de départs volontaires accompagnés d'indemnités conséquentes", précise la centrale syndicale. "Au terme des discussions actuellement en cours, un document reprenant ces propositions sera soumis à l'ensemble du personnel (et) ne sera signé par la CGT que s'il est approuvé par tous les salariés en assemblée générale".

Interrogée par l'AFP, une porte-parole du groupe GDTF a déclaré que "les négociations en cours portent sur l'avenir du site Amiens-Nord et en particulier sur la modalité d'un plan de départs volontaires". "Nous sommes dans un plan de départs volontaires, sans licenciements contraints. Seuls les salariés qui souhaitent quitter l'entreprise pourront le faire".

Le plan social de Goodyear prévoyait de mettre un terme à la production de pneus de tourisme à Amiens-Nord, en supprimant 817 postes sur les 1.300 que compte le site. Plan vigoureusement combattu dès le début par la CGT du site.

 

source : http://www.cgt-goodyear-nord.fr

Partager cet article
Repost0
30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 10:26
Samedi 26 mai 2012

  957017-1131405-copie-1.jpg

Les salariés de Fralib et leurs représentants CGT, accompagnés de leurs structures, ont rencontré ce jour, le Ministre du redressement productif Arnaud Montebourg accompagné de la Ministre Marie-Arlette CARLOTTI, du Président de la Région PACA Michel VAUZELLE, du Président de la CUM Eugène CASELLI, du Préfet de Région Hugues PARANT et Michel BENTOUNSI Directeur de la DIRECCT.

Lors de cette réunion de travail, qui s’est tenue dans les locaux de la Mairie de Gémenos en présence de M Roland GIBERTI, les représentants des salariés ont rappelé le comportement scandaleux de la multinationale Unilever qui, depuis des années, poursuit le but de casser l’usine Fralib à Gémenos et de jeter les salariés au chômage.

Depuis 605 jours de lutte, les salariés n’ont cessé de dénoncer les méthodes patronales et les pratiques du gouvernement sarkozyste, qui a soutenu sans faille et accompagné les agissements d’Unilever. L’un des derniers actes et non des moindres de la préfecture des Bouches du Rhône et du Ministre Xavier Bertrand a été de laisser passer volontairement le délai légal pour envoyer le procès-verbal de carence qui avait été   dressé et ordonner à la Direction Départementale du Travail de bloquer la lettre d’observations sur le PSE qu’elle envisageait de transmettre à la société Fralib.

Un document de travail approfondi complétant la solution alternative développée par les salariés a été remis à tous les participants de la rencontre de ce jour.

Les salariés ont réaffirmé la nécessité d’organiser une table ronde autour de notre projet. La lutte syndicale menée avec détermination, responsabilité et sang-froid, mettant sous surveillance notre usine visait le maintien de l’outil de travail pour la continuité, le développement de l’activité industrielle et la sauvegarde de nos emplois. La situation actuelle et les perspectives ouvertes confirment le bien fondé et la légitimité de l’action des salariés.

Dans ce sens, Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif a d’emblée mis l’accent sur le caractère légitime de notre combat et sur la nécessité de retrouver le « chemin du dialogue ».

Il a énoncé un certain nombre d’acquis arrachés, d’engagements et d’objectifs, notamment :

 -          Unilever accepte de participer à des discussions avec la délégation des salariés de Fralib,

-          Unilever s’engage à ne pas mettre en application les termes de l’Ordonnance rendue par le TGI de Marseille, aux termes de laquelle l’expulsion des salariés avait été prononcée,

-          Unilever confirme que les machines ne quitteront pas l’usine. Sur ce point, le Ministre se porte garant d’un acquis syndical essentiel.

 

Un processus de discussions et de négociations va s’ouvrir sous l’égide du Ministère du Redressement productif, du Ministère de l’Economie sociale et solidaire, du Ministère de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire et du Ministère du Travail. Ce que nous revendiquions explicitement depuis des mois en proposant la tenue d’une « table ronde ». Après avoir subi un sévère revers par l’exercice du droit de préemption utilisé par la CUM, Unilever est contraint à s’asseoir à la table des négociations.

M. Michel BENTOUNSIi a été désigné par le Ministre comme médiateur pour organiser la table ronde dans les Bouches du Rhône.

Dans ce cadre, le Ministre a confirmé l’engagement public pour que le projet des salariés soit affiné, avec le concours d’experts mis à dispositions par l’Etat. Notre solution alternative est désormais prise en compte. Elle est, pour nous, au cœur du processus de négociations qui s’engage.

Les négociations démarreront dès la semaine prochaine. Le Ministre a ouvert un délai d’un mois pour ces premières discussions. Au bout de ce délai, le point sera fait avec lui.

Après 605 jours de combats âpres, les discussions vont enfin commencer. A l’évidence, la lutte paie. Nous en sommes fiers et toujours aussi déterminés.

La mobilisation et la détermination des salariés et de toute la CGT restent intactes pour la protection de notre outil industriel, pour nos emplois, pour qu’Unilever restitue aux salariés leur patrimoine et leur travail, le maintien de l’emploi et de l’Eléphant en Provence.

 

source : cgt.fralibvivra.over-blog.com/


Partager cet article
Repost0

Dernières Flèches

  • Une 1ère réunion de négociations sur les salaires s’est tenue le Jeudi 02 Février. La 1ère proposition de la direction est : ► 2,2 % d’Augmentation Générale sur la grille de salaire de Septembre 2022 à partir du coefficient 135 (En incluant les 3,5% d’AG...
  • Objet : situation service fabrication UPESH Mr le directeur, Nous sommes informés de la situation du service fabrication. Le 10 Janvier, le service fabrication a embauché plus tôt à 11h10 pour une formation et prendre ensuite la relève de l’équipe du...
  • Négociation sur les salaires : Le compte n’y est pas !!!
    Une 2ème réunion de négociations sur les salaires s’est tenue le vendredi 23 Septembre. Les propositions finales de la direction sont : ► une augmentation générale des salaires de 3,5 % au 1er Septembre qu’elle considère comme une anticipation sur la...
  • Négociations de salaire
    La dernière réunion de NAO s’est tenue le jeudi 24 février. La dernière proposition de la CGT était une augmentation générale de 4,5%. Les dernières propositions de la direction sont (voir la grille ci-dessous) : Augmentation générale de 3,2% pour les...
  • Salaires : Acte 1 !
    Suite aux dernières propositions de la direction, La CGT a signé pour la 2ème : Augmentation générale de 35 € bruts sur le salaire de base au 1er Novembre 2021. Engagement des Négociations annuelles obligatoires 2022 sur les salaires en Février, au minimum...

Catégories