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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 12:00
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EMPLOI SALAIRES RETRAITES : TOUS ENSEMBLE !

 

Lors du sommet social du 15 février le Président de la République s’est limité à annoncer une série de rendez-vous, face aux inquiétudes exprimées par les organisations syndicales

sur l’emploi, les salaires, les retraites.

 

A ce jour, aucune réponse concrète sur ces questions !

 

 
 

Pire, il renvoie la question des demandeurs d’emploi en fin de droits à une « concertation » avec le secrétaire d’état à l’emploi.

D’autre part, les organisations syndicales ont fortement dénoncé les atteintes au statut général des fonctionnaires, soulignant le malaise dans la fonction publique. Au nom de la révision générale des politiques publiques le gouvernement supprime sans vergogne des emplois au détriment des missions du service public.

 

Cette dégradation des conditions de travail et de l’emploi frappe les salariés du public comme du privé.

 

Comment ne pas lier les difficultés des comptes sociaux aux questions de l’emploi et des salaires. Les demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi en Vendée ont augmenté en un an de 24 % portant le nombre à 37 699 personnes en décembre 2009, dont 10 000 en fin de droits. Et que dire du chômage des jeunes de moins de 25 ans qui a littéralement explosé en Vendée, avec une augmentation de 33 % situant le département au 2ème rang dans la région (8 388 jeunes concernés).

Le comportement des patrons vendéens est scandaleux : pas d’anticipation, pas d’alternatives aux licenciements, pas acteur pour trouver des solutions … Le miracle vendéen a un goût amer pour les salariés qui sont en droit de recevoir des réponses concrètes de la part du patronat et des pouvoirs publics, d’autant que 56 % des Vendéens vivent avec moins de 1 500 euros par mois, dont 24 % en dessous du seuil de pauvreté !

Concernant les retraites, les organisations syndicales ne se laisseront enfermer, ni dans un calendrier, ni dans un débat, qui ne prendraient pas en compte l’ensemble des questions, tant au niveau du privé que du public, notamment le niveau des pensions, l’emploi, le financement, la pénibilité, le code des pensions et la réduction des inégalités.

Nous sommes bien face à un choix de société. C’est la question des solidarités intergénérationnelles qui est posée et plus généralement les fondamentaux de notre système de protection sociale.

 

 

Les organisations syndicales réaffirment que la sortie de crise passe par des mesures en faveur des intérêts communs des salariés du public et du privé, des retraités, des privés d’emploi concernant l’emploi, les salaires et les retraites, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d’une relance économique respectueuse des impératifs écologiques

 

 

C’est pourquoi, la CGT, la CFDT, la FSU, SOLIDAIRES, l’UNSA ont décidé d’une journée de mobilisation interprofessionnelle, le 23 MARS 2010, marquée par des débrayages, grèves et manifestations.

 

tous ensemble, le mardi 23 mars 2010

14h30 - Place Napoléon - La Roche s/Yon



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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 20:58



La montée en puissance des conflits sur les salaires traduit un profond ras-le-bol des salariés confrontés au gel des augmentations générales, à l’individualisation, à la hausse effrénée de la productivité et à la non-reconnaissance des qualifications et des responsabilités.
En cette période de profonde crise de l’emploi, les salariés ne renoncent pas à réclamer des augmentations. Tandis qu’avec l’argent public largement distribué sans contrepartie, les entreprises reviennent à meilleure fortune, consolident leurs profits, les salariés eux, réclament sans attendre un autre partage des richesses qu’ils créent.


http://www.cgt.fr/
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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 13:33

La pénibilité physique n'a pas disparue et le stress s'est accru. En cause: l'intensification du travail mais aussi l'affaiblissement des solidarités et le rapport de force dégradé sur le marché du travail.

Le travail peut faire souffrir. Les suicides récemment intervenus à France Télécom sont venus le rappeler avec brutalité. L'émotion suscitée par ces drames a d'ailleurs poussé le gouvernement à présenter, début octobre, un plan d'urgence pour la prévention du stress au travail. Son ambition: amener les entreprises de plus de 1 000 salariés à engager des négociations sur le sujet avant le 1er février 2010, alors que l'accord national interprofessionnel sur le stress au travail, signé en 2008 par les partenaires sociaux, peine à être mis en oeuvre.

 

Le stress, souvent présenté comme un mal contemporain, n'est pourtant pas seul en cause dans les difficultés liées au travail. Contrairement à certaines idées reçues, la pénibilité physique n'a pas disparu, loin de là. Dans un cas comme dans l'autre, les bouleversements qui ont affecté l'organisation du travail au cours des dernières décennies ont plutôt aggravé les choses.

 

 Un travail toujours pénible

 

Certes, on ne travaille plus aujourd'hui comme il y a un siècle. Les Français travaillent tout d'abord moins longtemps: en 1950, la durée annuelle du travail était encore de 2 230 heures, elle n'était plus que de 1 559 heures en 2007. Ensuite, les normes de sécurité sont devenues plus strictes, et la qualité des équipements utilisés s'est améliorée. Quant à la part des métiers les plus pénibles, elle a logiquement baissé dans une économie désormais essentiellement tertiaire. Résultat: les accidents sont moins fréquents et leur issue est moins souvent fatale.

 

Pour autant, le labeur n'est pas devenu une sinécure. Au contraire, les conditions de travail ont plutôt eu tendance à se dégrader depuis trente ans. La pénibilité physique reste ainsi une dure réalité pour nombre de salariés. Ils étaient en effet un sur quatre à déclarer porter des charges lourdes en 2005, deux fois plus qu'en 1984, selon la Dares. D'une manière générale, de plus en plus de salariés sont soumis à des efforts physiques, tels que rester debout longtemps, effectuer des mouvements douloureux ou fatigants, subir des secousses ou des vibrations, etc. Les expositions à un bruit intense, à des températures élevées ou encore à des produits dangereux augmentent elles aussi.

 

Inégaux face aux risques

La pénibilité du travail frappe plus durement certaines catégories socioprofessionnelles que d'autres. Ainsi, en 2003, les cadres de 35 ans bénéficiaient d'une espérance de vie totale supérieure de 5,7 ans à celle des ouvriers. Surtout, leur espérance de vie "sans incapacité" était supérieure de 9,6 ans à celle des "cols bleus". Les ouvriers sont donc doublement pénalisés: non seulement ils vivent en moyenne moins longtemps que les cadres, mais l'écart est encore plus grand si on s'interesse à l'espérance de vie sans handicaps...

Autre facteur d'inégalité de santé au travail: la précarité. Selon une récente étude de la Dares, les personnes qui ont connu un parcours professionnel très instable, c'est-à-dire qui ont été contraintes de changer fréquemment d'emploi au cours de leur carrière, sont significativement en moins bonne santé que les autres . Les femmes, enfin, sont davantage concernées par la souffrance psychique au travail que les hommes, comme le montre l'enquête Samotrace.

"Parcours professionnel et état de santé", Dares, Premières synthèses n° 001, janvier 2010, disponible sur www.travail.gouv.fr

 

 

 

Par ailleurs, la parcellisation des tâches et le travail répétitif - deux modes d'organisation caractéristiques du taylorisme - font un retour en force. En 2005, 28% des ouvriers déclaraient travailler sous contrainte automatique, c'est-à-dire devant une chaîne de production ou une machine préréglée, alors qu'ils n'étaient que 17% en 1984. Quant au travail répétitif, il concernait près d'un ouvrier sur deux en 2005 (contre un sur trois en 1984), mais c'était également le lot de 28% de l'ensemble des salariés.

 

Le secteur tertiaire n'est plus épargné. De nombreuses entreprises de services ont en effet adopté des modes d'organisation que l'on peut qualifier de néotayloristes (1): le juste-à-temps est devenu la règle et les exigences du client imposent des rythmes de plus en plus soutenus. Les standards de qualité jouent aussi: le travail est de plus en plus souvent contrôlé, grâce notamment au développement de l'informatique. Bref, les salariés se retrouvent pris en tenaille entre des injonctions contradictoires: être toujours plus productifs sans pour autant sacrifier la qualité du service, et être autonomes tout en respectant des consignes strictes. Les centres d'appels illustrent à l'extrême cette extension du taylorisme aux activités tertiaires, mais des évolutions similaires s'observent dans la restauration rapide, dans la grande distribution ou encore au sein des banques.

 

Cette tendance n'est pas sans conséquences sur la santé physique des salariés concernés, au sens le plus classique du terme. L'explosion des troubles musculo-squelettiques (TMS) est à cet égard particulièrement préoccupante: 12 000 cas étaient officiellement recensés en 1998. Dix ans plus tard, plus de 52 000 personnes souffraient d'une de ces affections qui touchent le dos, les épaules, les poignets ou encore les genoux. Une part de cette augmentation traduit sans doute une meilleure connaissance et une plus forte déclaration de ces affections, mais cela n'explique pas tout.

 

 La montée du stress

 

Si le travail est toujours harassant sous bien des aspects, il est également de plus en plus stressant. C'est ce que traduit l'apparition d'un nouveau type de contraintes: les risques psychosociaux( Risques psychosociaux: cette expression recouvre les risques professionnels qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la santé mentale des salariés: stress, harcèlement, épuisement professionnel, violence au travail... Cette notion est donc plus large que le simple stress, qui a pour inconvénient d'insister sur le caractère individuel de la pathologie. Au contraire, l'expression "risques psychosociaux" insiste sur la dimension collective du problème et pointe la responsabilité des conditions de travail..). Le phénomène n'est pas marginal. En 2003, 23% des salariés français se sentaient en situation de job strain , c'est-à-dire privés des marges de manoeuvre nécessaires pour faire face aux exigences de leur travail, selon l'enquête Sumer. Or, lorsqu'une forte demande psychologique se conjugue à une faible latitude décisionnelle, les risques pour la santé psychique sont les plus importants, comme l'a établi le sociologue américain Robert Karasek, à la fin des années 1970.

 

Une autre étude, plus récente, a confirmé l'ampleur du phénomène. Entre 2006 et 2008, 6 000 salariés ont participé à cette enquête menée par l'observatoire épidémiologique Samotrace dans les régions Centre, Poitou-Charentes et Pays-de-la-Loire. Il en ressort que 24% des hommes et 37% des femmes interrogés ont exprimé un mal-être au travail (anxiété, dépression, symptômes somatiques, difficultés dans le comportement social). Autre information intéressante: les secteurs d'activités où cette souffrance psychique est la plus prononcée sont les services publics, la banque-finance et l'énergie. Et non le bâtiment ou l'industrie, traditionnellement au centre des préoccupations en matière de santé au travail.

 

Loin d'être nécessairement "positif", comme le considèrent certains managers, le stress représenterait un coût pour la société: l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) l'a évalué à 2 ou 3 milliards d'euros en 2007. Cette fourchette a été obtenue en prenant en compte les dépenses de soins, celles liées à l'absentéisme, aux cessations d'activité et aux décès prématurés. En 2007, la dépression et l'anxiété sont d'ailleurs arrivées au premier rang des maladies professionnelles pour lesquelles des personnes ont consulté médicalement. Une première!

 

 Vite fait, mal fait

 

Comment en est-on arrivé là? La plupart des spécialistes incriminent l'intensification du travail. En effet, en 2005, 48% des salariés déclaraient devoir se dépêcher "toujours ou souvent" et 60% disaient "devoir fréquemment abandonner une tâche pour une autre plus urgente". L'intensité du travail semble néanmoins s'être stabilisée entre 1998 et 2005, selon les enquêtes de la Dares. C'est surtout au cours des années 1980 et 1990 que le travail dans l'urgence s'est fortement développé. La pression qui repose actuellement sur les épaules des salariés n'en reste pas moins importante. La productivité horaire, qui est une des plus élevées au monde, est révélatrice de ces cadences particulièrement soutenues.

 

Quoi qu'il en soit, le fait de devoir travailler toujours plus vite n'explique pas à lui seul l'augmentation du mal-être au travail. La souffrance devient importante quand cette pression prive les salariés de la capacité de faire un travail qu'ils estiment de qualité. Or, les personnes réunissant toutes les conditions pour bien travailler sont minoritaires (2). Et 13% des salariés disent même travailler d'une façon qui heurte leur conscience professionnelle, selon l'enquête Samotrace.

 

Autre facteur de souffrance: le manque de reconnaissance et l'isolement. De ce point de vue, les salariés français sont particulièrement mal lotis: seule la moitié d'entre eux affirme pouvoir compter sur leurs collègues en cas de difficulté, contre 68% en moyenne dans l'Union européenne, selon la Fondation de Dublin. Même chose pour l'aide d'un supérieur. En cause, l'individualisme traditionnel en France, combiné à l'affaiblissement des collectifs de travail et au déclin du syndicalisme. Mais également les nouvelles méthodes de management et de gestion introduites à la fin des années 1980. C'est le cas, notamment, des systèmes de rémunération et d'évaluation individualisées des performances, qui mettent en concurrence les collègues d'un même service. Des batteries d'indicateurs ont été souvent inventées pour mesurer "objectivement" le travail de chacun, ce qui a contribué à casser les logiques collectives, tandis que les rares espaces de coopération qui subsistaient dans les entreprises se sont réduits comme peau de chagrin.

 

Le contexte de chômage de masse a évidemment beaucoup contribué également à accroître les tensions psychologiques dans les entreprises, en dégradant le rapport de force entre employeurs et salariés. Ceux-ci sont en effet de plus en plus contraints d'intérioriser un mécontentement qui ne trouve plus de canaux institutionnels pour s'exprimer. Ce qui ne présage rien de bon pour la suite: en période de crise, la tentation risque d'être forte de privilégier encore plus la préservation de l'emploi au détriment des conditions de travail.

 

Jeanneau Laurent

 

(1) Voir L'entreprise efficace, à l'heure de Swatch et de McDonald's. La seconde vie du taylorisme, par Guillaume Duval, éd. La Découverte, 2003.

(2) Seul un salarié sur cinq dispose à la fois de suffisamment de temps, d'informations claires, de la possibilité de coopérer, de collègues disponibles, d'un matériel et d'une formation adaptés.

 

Tous droits réservés : Alternatives Economiques



 
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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 21:55
La CGT du site Goodyear d'Amiens-Nord et le comité central d'entreprise de Goodyear Dunlop Tires France demandent à la justice de nommer un administrateur provisoire, alors que selon les requérants les dirigeants conduisent la filiale française à la faillite. L'audience aura lieu le 30 mars devant le tribunal de commerce de Nanterre. La CGT appelle les salariés à une manifestation ce jour-là dans la ville pour dire "stop aux délocalisations et à la casse sociale".

PARIS mercredi3 mars 2010

La CGT de Goodyear Amiens Nord engage un combat judiciaire inédit
AFP

PARIS, 3 mars 2010 (AFP) Initiative inédite lancée par un syndicat, la CGT de Goodyear Amiens-Nord, qui conteste depuis trois ans la restructuration de l'usine, a demandé la nomination d'un administrateur provisoire face au "démantèlement" de la filiale française.

L'audience est prévue le 30 mars à 14H00 devant le tribunal de commerce de Nanterre.

La CGT, qui mène cette action aux côtés du comité central d'entreprise (CCE) de Goodyear Dunlop Tires France, appelle les salariés à un rassemblement ce jour-là devant le tribunal pour dire "stop aux délocalisations et à la casse sociale".

La direction a déjà annoncé qu'elle apporterait au tribunal "les éléments qui démontreront la bonne gestion" de l'entreprise. La nomination d'un administrateur est "une mesure extrêmement rare, en cas de péril de l'entreprise, ce qui n'est pas le cas" ici, a souligné une porte-parole.

Mais l'avocat de la CGT et du CCE, Fiodor Rilov, s'appuie sur un arrêt de la cour d'appel de Paris remontant à 1965, concernant l'entreprise Fruehauf France (construction de remorques), à laquelle sa société mère américaine avait ordonné de rompre un contrat avec la République populaire de Chine, ce qui mettait la filiale française en péril. Un administrateur provisoire avait été nommé avant même sa paralysie.

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Ce recours est "totalement inédit" de par ses initiateurs et au vu du contexte: "il s'agit d'essayer de freiner un processus qui vise délibérément à une dislocation de l'entreprise", selon Me Rilov, qui affirme que "la production a été vidée" et que "les salariés ont été mis dans une situation intenable".

La direction française doit être "remplacée par un administrateur provisoire chargé de gérer la société dans l'intérêt de tous ceux qui y participent", a-t-il expliqué mercredi à l'Assemblée nationale aux côtés d'une quarantaine de salariés de l'usine de pneumatiques d'Amiens-Nord.

Le responsable CGT, Mickaël Wamen, estime que "le groupe peut maintenir l'emploi et le site", malgré la crise dans l'automobile qui affecte particulièrement les sous-traitants.

 

source : www.cgt-goodyear-nord.fr/

 


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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 19:19

 

Au sujet du « ménage » pratiqué actuellement chez Arrivé, nous avons rappelé que Denis Lambert a annoncé à de nombreuses reprises et officiellement qu’il n’y aurait pas de licenciements chez Arrivé :

 

Les promesses n’engagent que ceux qui les tiennent.

 

Les licenciements pour faute ou motif personnel et les mutations qui sont constatées, alors que les postes ne sont pas remplacés, masquent des restructurations déguisées qui devraient faire l’objet de procédures de licenciement économiques, avec éventuellement des mutations, que la direction aurait bien du mal à justifier :

 

Si les salariés se révoltent, la direction risque de passer pas mal de temps aux prud’hommes.

 

On nous annonce l’intention d’augmenter individuellement les salaires des agents de maîtrise, hausse indépendante de l’augmentation générale des salaires. Nous dénonçons un système injuste, inégal, une prime à la tête du client, pour une pression de plus en plus forte sur les salariés et pour les diviser, …au service de la course effrénée à la rentabilité.

 

Voilà la situation aujourd’hui chez Arrivé :

 

Profits, rentabilité, restructurations, mutations forcées, pressions,

chacun pour soi…

 

Tous ensemble, n’acceptons pas une politique anti-sociale et refusons que certains d’entre nous soient sacrifiés sur l’autel du profit immédiat.

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